Les réalisations d’ici se déclinent en plusieurs saveurs. Que ce soit en publicité, en long métrage ou encore ailleurs, les réalisateurs et réalisatrices déploient leurs talents dans plusieurs secteurs. Il n’est pas rare pour ces professionnelles et professionnels aguerris de passer de l’un à l’autre au cours de leur carrière. Découvrez les différents secteurs de réalisation ainsi que celles et ceux qui y travaillent!
L’animation, c’est une série photographiée de dessins ou d’images qui simulent le mouvement. Réalisée à l’aide de moyens comme le dessin, la prise de vue image par image, la saisie de mouvement ou l’image de synthèse, l’œuvre d’animation se savoure à toutes les sauces.
L’œuvre d’art et essai est un plat gastronomique qui montre une recherche et une réflexion artistique, tant sur la présentation que sur le contenu, et qui amène un goût nouveau au sein du monde cinématographique.
Le court-métrage est un apéritif aux arômes variés. Production cinématographique d’une durée de 30 minutes ou moins, il constitue le plat de résistance de nombreux amateurs.trices, qui adorent le déguster en mode festival.
Le documentaire, c’est comme une valeur nutritive : ça présente la réalité dans le but d’informer, d’analyser ou de traiter en profondeur un sujet spécifique. Même s’il lui arrive d’être servi en sauce dramatique, à saveur de variétés ou en version animée, le documentaire est avant tout une façon de communiquer de l’information, directement dans votre assiette.
On pourrait qualifier la production jeunesse de produit non-transformé, étant donné qu’elle n’a qu’un seul ingrédient à son actif : en effet, elle n’a d’autre obligation que de s’adresser principalement à un public jeunesse! Et pour qu’elle convienne à tous les publics, on l’a certifiée sans noix, sans gluten et sans lactose.
D’une durée d’au moins 75 minutes, le long métrage a pour objectif d’apaiser les fringales cinématographiques les plus intenses. Pour mériter son titre, le long métrage peut se décliner en fiction, en documentaire ou en animation. Un menu dont on se régale, pas vrai?
Le magazine est un mets aux multiples arômes. Réunies sous un même titre, ses différentes parties traitent de sujets divers et sont présentées par un.e ou plusieurs animateur.trices ou chroniqueur.euses chargé.es de vous ouvrir l’appétit.
L’œuvre interactive est à l’image d’un buffet sophistiqué : son contenu est susceptible d’être significativement influencé par les spectateur.trice.s. L’œuvre muséale, souvent immersive, correspond à toute œuvre audiovisuelle servie dans un décor de musée.
L’annonce publicitaire vise à donner un avant-goût d’un produit. Elle suggère, nomme, qualifie et décrit des marchandises, services, marques de commerce ou commanditaires dans le but d’en promouvoir la vente, la location ou l’utilisation, afin d’obtenir de meilleures recettes. L’œuvre corporative, elle, est un menu commandé exclusivement pour la diffusion en entreprise, sur le Web ou dans un lieu public, afin d’informer une tablée spécifique, comme des employé.es, des membres d’une corporation ou des étudiant.es.
Tel un menu thématique, la série télévisée est un ensemble de deux ou plusieurs émissions de fiction qui forment une œuvre globale se partageant un même encadrement technique et créatif, et se déroulant dans un univers commun. Pour un résultat plus saisissant, on ajoute une pincée d’actions dramatiques agrémentées de techniques basées sur la mise en scène et la direction de comédien.ne.s.
Les variétés sont une sorte de buffet où sont offerts des prestations d’artistes de la chanson, d’humoristes, d’imitateurs.trices, d’artistes de cirque, de mimes, de magiciens.nes, de danseurs.euses. ou de musiciens.nes. La captation de spectacles, elle, est une recette dont les ingrédients sont des prestations scéniques de musique, d’humour ou de variétés.
Le vidéoclip a pour but d’illustrer et de promouvoir la crème de la crème de la musique, une œuvre à la fois, peu importe le support et le marché de diffusion auquel celle-ci est destinée.
Réals d’ici, coups de cœur d’ici. L’ARRQ est fière de vous présenter les réalisations qui ont marqué l’imaginaire québécois, sélectionnées par ceux qui ont contribué à les mettre en valeur : nos chroniqueuses et chroniqueurs culturels.
L’ARRQ tient à remercier ses nombreux partenaires, sans qui il lui serait impossible de poursuivre sa mission de soutenir les réalisateur.trices du Québec. Tous ensemble, nous sommes fiers de contribuer au développement d’une culture québécoise originale, unique et diversifiée.